80% des personnes qui veulent devenir rédacteurs freelance abandonnent au bout de la première année.

Ça te fait flipper, hein ? Moi aussi, ça m’a fait flipper quand j’ai lu cette stat’ pour la première fois. Devenir rédacteur web, ce n’est pas comme dans les films où tout est glamour et facile.

Il y a un moment où un beau jour, tu te dis : « Je sais écrire. Je vais quitter mon boulot et devenir rédacteur freelance, ça doit être la belle vie ! ». Et puis tu te retrouves à galérer pour trouver des clients, à gérer les factures et les retours clients, tout en essayant de ne pas perdre ta vie sociale.

Tu te rends compte que c’est pas aussi sexy que ça en avait l’air dans ta tête.

Alors, qui suis-je pour te parler de ça ? Je suis Alexandre Montenon, content manager depuis 2011 et intervenant en formation rédaction web à l’ISCOM et Sup de Pub. J’ai traversé toutes ces étapes et crois-moi, ça a été un sacré périple !

En lisant cet article, tu vas découvrir tout ce que j’aurais aimé savoir avant de me lancer. On va parler des hauts, des bas et des trucs super pratiques qui peuvent te faire gagner un temps fou.

Le but ? T’équiper pour que tu ne fasses pas partie de ces 80% qui abandonnent. Alors, t’es prêt à plonger dans le grand bain de la rédaction web avec moi ?

Au programme :

Ce que j’imaginais vs la vraie vie de rédacteur freelance

Au début de mon aventure en tant que rédacteur freelance, j’étais persuadé que la vie serait un long fleuve tranquille. Travailler en pyjama, se lever à midi, et écrire quand l’inspiration me viendrait.

Pas mal comme vision, hein ?

Mais comme on dit, la réalité est souvent différente de nos idéaux. Si toi aussi tu te demandes comment devenir rédacteur freelance, prends des notes. Parce que ce que tu vas lire ici, tu ne le liras sans doute jamais ailleurs.

Non, les autres formateurs en rédaction web veulent absolument te vendre la formation à deux balles. Ils ne te diront donc jamais comment ça se passe en vrai, dans les coulisses.

Les idées reçues sur la liberté

Oui, en tant que freelance, tu as plus de flexibilité, mais dis-toi bien que la liberté totale est un mythe. La vérité, c’est que tu vas bosser.

Beaucoup.

Et parfois, tu devras jongler avec plusieurs clients et deadlines.

En 2020, près de 40% des freelancers en France ont déclaré travailler plus de 50 heures par semaine. Alors, si tu penses que tu vas passer tes journées à flâner, réfléchis à deux fois.

Les nuits blanches et le café comme meilleur ami

Une autre chose que je n’avais pas prévue, ce sont les nuits blanches passées à écrire pour respecter un délai. Tu vois, quand tu es employé, tu as souvent quelqu’un pour te rappeler tes tâches.

En freelance, tu es ton propre patron et le café devient ton meilleur ami.

Et ne parlons même pas de l’isolement social. Oui, au début, ça fait du bien de ne voir personne. Mais au bout d’un moment, tu te rends compte que le réseau est essentiel, pas seulement pour ta vie sociale mais aussi pour décrocher de nouveaux contrats.

Plus d’une casquette sur ta tête de rédacteur web

Quand tu es rédacteur freelance, tu l’auras compris : tu es freelance.

Un autre aspect que personne ne te dit donc, c’est que tu devras être ton propre comptable, du moins au début. J’ai dû apprendre à gérer mes factures, mes charges, et tout le tralala administratif que j’aurais préféré éviter. Mais c’est faisable, et il y a même des apps pour ça.

Tu es également ton community manager, et même ton propre service client. Autant dire que tu ne vas pas t’ennuyer. Si on rajoute à ça la prospection, le juridique, toussa toussa, ça fait un tas de casquettes différentes !

Mon conseil : apprendre à t’organiser

Si je peux te donner un conseil fraternel, c’est bien celui-ci : apprends à t’organiser et à bien gérer ton temps. Sinon, tu risques fort de te sentir débordé et stressé. Et crois-moi, tu n’as pas envie de t’en rendre compte après avoir manqué quelques deadlines importantes.

Le rédacteur web, un prestataire multi-tâches

Oui, je vais faire une partie entière là-dessus, car ça me semble plus qu’important.

Si tu penses que rédiger, c’est tout ce que tu vas faire en tant que rédacteur web, tu te fourres bien le doigt dans l’œil.

Laisse-moi te dire que si tu veux vraiment savoir comment devenir rédacteur freelance, tu vas devoir apprendre à être multi-task.

Le rédacteur web, un couteau suisse moderne

Je dois avouer que quand je me suis lancé, je n’avais pas réalisé à quel point je devrais être polyvalent. Non seulement tu dois être bon en écriture, mais tu dois aussi comprendre le SEO, le marketing, et parfois même être un peu graphiste.

Une étude a montré que 70% des freelancers en France avaient dû acquérir de nouvelles compétences pour répondre aux besoins de leurs clients.

La casquette du SEO, un indispensable

J’ai appris le SEO auprès des meilleurs, comme Laurent Bourrelly. Et crois-moi, si tu négliges cet aspect, tu auras du mal à te démarquer. La recherche des mots-clés, la longueur du texte, la méta description… Tout ça, ça pèse dans la balance. Énormément même.

Les compétences en marketing à ne pas négliger

C’est peut-être surprenant, mais un bon rédacteur est aussi un bon marketeur. Il faut savoir vendre non seulement le produit ou le service dont tu parles dans ton article, mais aussi toi-même comme marque.

Mon conseil : te former en continu

Le marché évolue rapidement, et il faut savoir s’adapter. Si tu es au début de ton parcours, ne te repose pas sur tes lauriers (comme j’ai pu le faire aussi).

Il existe plein de formations en ligne qui te permettent de rester à jour sur les dernières tendances et techniques. Prends le temps de te former et d’investir en toi.

Et maintenant que tu sais que la polyvalence est la clé, dans la partie suivante, je vais te partager d’une autre chose qui m’a beaucoup chagriné quand je me suis lancé : la solitude.

Le défi solitaire du rédacteur web freelance

Tout le monde te parle des avantages de travailler en freelance : la liberté, le choix des projets, travailler en pyjama… Mais rarement des moments où tu te retrouves seul face à ton écran, à chercher de l’inspiration ou à gérer des clients difficiles.

Comment devenir rédacteur freelance sans te sentir seul.e, tu te demandes ? Eh bien, sache que ce n’est pas toujours facile.

Oui, tu vas te sentir seul

C’est inévitable, crois-moi. J’ai eu des jours où j’aurais aimé avoir des collègues pour partager un café ou simplement discuter. Une enquête a montré que 40% des freelancers en France ont déjà ressenti de la solitude professionnelle. C’est une réalité à ne pas négliger.

Heureusement, la solitude, on peut la combattre.

Rejoins des groupes de freelancers, participe à des événements dans ton domaine et surtout, crée-toi un réseau solide. C’est vital pour ton bien-être professionnel et personnel. Et qui sait, des opportunités de collaboration pourraient surgir.

En gros, le freelancing, c’est un monde avec ses hauts et ses bas. Mais si tu es armé et bien préparé, tu y trouveras ton compte.

Dans la prochaine partie, je vais te parler des bonnes surprises du métier. Parce que oui, il y a de bons côtés. De très bons même !

Les bonnes surprises du métier de rédacteur web

Je ne voulais pas te laisser sur une note pessimiste, loin de là. Le freelancing a ses défis, c’est vrai, mais il a aussi des côtés absolument géniaux que je n’aurais jamais découverts si j’étais resté en entreprise. Comment devenir rédacteur freelance et aimer chaque minute de cette aventure ? Laisse-moi te montrer le bon côté du miroir.

La liberté, c’est pas du vent

Tout le monde te parle de la liberté en freelance, mais personne ne te dit à quel point elle peut être libératrice. Prends mon cas, par exemple. J’ai pu partir en Asie pendant 6 mois, sans avoir à rendre des comptes à un boss. Bon ok, tu dois tout de même répondre à tes clients et travailler, mais crois-moi, c’est une sensation de liberté incroyable.

Ce sentiment quand un client te dit « bravo »

Alors là, je peux te dire que ça fait du bien au moral. Un client satisfait, c’est une grande victoire, surtout quand tu bosses seul. En France, environ 80% des freelances se sentent plus valorisés dans leur travail en indépendant qu’en tant que salarié. Tu vois, il n’y a pas que moi.

La diversité des projets

L’un des avantages dont on parle moins, c’est la variété des projets sur lesquels tu peux travailler. Un jour, tu rédiges un article sur la technologie, le lendemain, tu te plonges dans une analyse de l’impact écologique des voitures électriques.

Cette diversité n’est pas seulement stimulante intellectuellement, elle te permet aussi d’améliorer tes compétences de rédacteur à vitesse grand V.

Le réseau qui se construit tout seul

En tant que freelance, ton réseau se construit d’une manière incroyablement organique.

Chaque nouveau client, chaque nouvelle collaboration, chaque rendez-vous Skype, c’est une porte qui s’ouvre sur de nouvelles opportunités.

Pour te donner un chiffre, près de 60% des freelancers en France ont déclaré que le bouche-à-oreille était leur principal moyen d’acquérir de nouveaux clients. Alors, active ton LinkedIn et n’hésite pas à demander des recommandations !

La fierté d’être ton propre patron

Je vais te dire, il y a quelque chose d’incroyablement gratifiant à être maître de son destin. La fierté que tu ressens lorsque tu signes un gros contrat ou que tu livres un projet particulièrement compliqué, c’est de l’or en barre pour ta confiance en toi.

Je t’assure, devenir rédacteur freelance, c’est se lancer dans une aventure où les bonnes surprises l’emportent largement sur les défis.

La flexibilité comme style de vie

Il n’y a rien de plus satisfaisant que de contrôler son propre emploi du temps. Tu peux travailler aux heures qui te conviennent le mieux, ce qui peut être particulièrement bénéfique si tu es un oiseau de nuit ou si tu as des obligations familiales. Moi par exemple, j’ai une fille de 2 ans et je m’organise en fonction de ses contraintes.

D’ailleurs en France, 72% des freelancers mettent en avant la flexibilité comme l’une des meilleures choses de leur vie professionnelle.

La mobilité géographique

La plupart du temps, tu n’as besoin que d’un ordinateur et d’une connexion Internet pour travailler. Cela signifie que tu peux travailler d’où tu veux : un roof-top, une plage au Cap-Ferret, ou même d’un autre pays si ça te chante. Le monde est littéralement ton bureau.

L’apprentissage continu

Dans ce métier, tu n’arrêtes jamais d’apprendre. Que ce soit faisant des recherches pour un article, en assistant à une formation en ligne, ou même en discutant avec un client, chaque jour apporte son lot de nouvelles connaissances. C’est une aubaine si tu es du genre curieux.

En bref, si tu te demandais comment devenir rédacteur freelance, j’espère que ces bonnes surprises auront dissipé tes doutes. Maintenant, on va plonger dans les astuces pour être un bon rédacteur web au quotidien. Allez, on y va !

Les secrets bien gardés pour rester productif

Ah, la productivité, le Graal pour tout rédacteur freelance ! À l’époque où je débutais, j’aurais donné cher pour quelques astuces en la matière. Alors, voici mes conseils, spécialement pour toi.

La priorisation des tâches

Il y a des jours où ma to-do list ressemble à une liste sans fin. Du coup, je suis passé à la matrice Eisenhower.

C’est un tableau à quatre cases où tu classes tes tâches selon leur urgence et leur importance. Ce simple outil a boosté ma productivité de près de 30% en quelques semaines. Une étude française a même montré que 80% des tâches urgentes ne sont pas importantes. Imagine le temps que tu gagnes en les mettant de côté !

La méthode Pomodoro

Tu connais la méthode Pomodoro ? Vingt-cinq minutes de boulot, cinq minutes de pause.

Simple, mais diablement efficace.

J’ai trouvé que mon rendement grimpait de façon notable avec ce petit timer à tomate (oui, Pomodoro signifie tomate en italien).

Un espace de travail dédié

Un dernier point : ton environnement de travail. Non, travailler sur ton canapé devant Netflix, ça n’aide pas. J’ai investi dans un bureau confortable et j’ai fait en sorte que l’endroit soit agréable. Lumière naturelle, plantes, et hop ! Productivité au top.

Comment devenir rédacteur freelance et faire la différence ?

Si tu cherches à savoir comment devenir rédacteur freelance, tu auras maintenant compris que les compétences en rédaction ne sont qu’un côté de la médaille. L’autre, c’est tout un tas de petits « plus » qui peuvent vraiment faire une différence dans ta carrière. Alors, allons-y !

Créer des connexions qui valent de l’or

Crois-le ou non, quand j’ai commencé en freelance, mon réseau était aussi dense qu’un gruyère.

Résultat ? Mes premiers clients étaient principalement de vieux amis ou des connaissances. Mais j’ai rapidement découvert la puissance du réseau professionnel.

Aujourd’hui, grâce à des événements en ligne et des groupes sur les réseaux sociaux, je trouve la majorité de mes contrats.

L’importance du branding personnel

Si tu veux vraiment te démarquer, tu dois créer une marque autour de toi.

Oui, toi, tu es une marque !

J’ai commencé par créer un site vitrine et une présence en ligne très développé, en particulier sur Google. Et laisse-moi te dire, ça paie. Mes revenus ont augmenté de 65% dans l’année qui a suivi cette démarche.

La formation continue

Pour rester dans la course, il faut constamment se former. Moi, je consacre environ 10 heures par mois à la formation continue. On ne peut jamais dire qu’on sait tout, surtout avec le paysage numérique qui évolue à la vitesse de la lumière.

En résumé, devenir rédacteur freelance, ce n’est pas seulement taper sur un clavier. C’est aussi développer des compétences en réseau, en branding et en formation continue.

Les outils qui m’ont sauvé la vie en tant que rédacteur web

Si tu te demandes comment devenir rédacteur freelance, laisse-moi te dire, le talent et l’envie ne suffisent pas. C’est comme un maçon sans sa truelle, un peintre sans ses pinceaux. Il te faut les bons outils pour réussir.

Crois-moi, depuis 2011, j’ai eu le temps de tester toute une panoplie, et voilà ceux qui ont changé la donne pour moi.

Pour la gestion de projet : Trello à la rescousse

Avant Trello, mon bureau ressemblait à un champ de bataille post-apocalyptique, entre les post-its et les feuilles volantes. Depuis que j’utilise cet outil de gestion de projet, je suis devenu un as de l’organisation.

Tu savais qu’en France, 63% des freelances peinent à gérer leur temps ? Avec Trello, je fais partie des 37% qui ont tout sous contrôle.

Pour maitriser la grammaire : LanguageTool

Écrire c’est bien, écrire sans fautes d’orthographe, c’est mieux !

LanguageTool m’aide à corriger mes fautes de frappe, mes erreurs grammaticales et même à peaufiner mon style. Le résultat ? Moins de retours de correction et plus de clients satisfaits. J’ai même vu une augmentation de 15% de mes tarifs depuis que je livre des textes quasi parfaits.

Pour les réseaux sociaux : Hootsuite, mon meilleur allié

La promotion, c’est vital en freelance. Je ne compte même plus le nombre de contrats que j’ai décrochés grâce à une présence bien gérée sur les réseaux sociaux. Hootsuite me permet de programmer mes posts et de suivre mes stats en un clin d’œil.

Pour la rédaction et le SEO

Ensuite, on a les outils de rédaction et de SEO. J’utilise Yoast SEO qui me permet de vérifier si mon article est bien optimisé. C’est un peu comme avoir un mini-expert SEO dans ta poche. Une autre mention spéciale va à 1.fr, qui va me donner tout un tas de termes à intégrer dans mes articles pour les rendre encore plus visibles.

J’utilise aussi Ubersuggest ou Ahrefs. Tu ne connais pas Ubersuggest ? C’est un outil de Neil Patel, qui me permet de trouver les bons mots-clés et d’analyser la concurrence. En France, 77% des clics sur Google vont sur les trois premiers résultats. C’est là que tu veux être.

Avec Ubersuggest, je peux dire que j’ai doublé mon trafic organique en moins de six mois.

Pour communiquer avec mes clients : Slack

Pour garder le contact avec mes clients, rien ne vaut Slack. Le fait de pouvoir créer différents canaux de discussion pour chaque projet rend la communication beaucoup plus fluide. Et crois-moi, un client satisfait, c’est souvent un client qui revient.

Pour me filmer : Loom

Loom est également un outil que j’apprécie. Que ce soit pour envoyer une explication vidéo à un client ou pour prendre des captures d’écran, c’est un outil polyvalent qui me fait gagner un temps fou.

Pour prospecter : Hunter.io

Pour prospecter, j’ai déniché Hunter.io, que j’ai découvert en lisant un article sur Medium. Indispensable pour trouver les adresses e-mail lorsque tu prospectes de nouveaux clients. Un gain de temps inestimable pour éviter de chercher pendant des heures.

Le secret de mon équilibre financier

Maintenant que t’as un bon aperçu de comment devenir rédacteur freelance, parlons chiffons, ou plutôt chiffres.

Car oui, l’argent reste un critère de succès, qu’on le veuille ou non.

Tu sais, le métier a ses hauts et ses bas. Un mois tu baignes dans les euros, et le suivant, c’est le désert financier. Comment je fais pour équilibrer tout ça? Tu vas voir !

Une comptabilité solide : le cœur de la réussite

Tu connais Tiime ? C’est un outil de comptabilité en ligne qui m’a sauvé plus d’une fois. En France, environ 40% des freelances sont en galère avec leur comptabilité, et ça peut vraiment être l’enfer. Avant Tiime, j’en faisais clairement partie. Maintenant, je sais où va chaque centime, et surtout, je peux anticiper les mauvais mois.

Les contrats réguliers, la clé d’un revenu stable

Plutôt que de chercher sans cesse de nouveaux clients, je mise sur la fidélité. Surtout quand on sait que de prospecter un nouveau client coûte 25 fois plus cher que de fidéliser un client existant.

Environ 60% de mes revenus viennent de contrats de longue durée. Je garantis un certain nombre d’heures par mois à ces clients, et en échange, j’ai une source de revenu stable. Ça, c’est le pied !

Diversifier ses compétences pour maximiser les gains

Écrire, c’est mon dada, mais je me suis aussi lancé dans la formation en rédaction web. Auprès de deux écoles en communication : l’ISCOM et Sup de Pub. Mais aussi auprès des particuliers.

Cette diversification me permet de ne pas mettre tous mes œufs dans le même panier. Et pour ceux qui se demandent comment devenir rédacteur freelance, cette diversification peut être une véritable bouée de sauvetage.

D’ailleurs, j’ai aussi créé plusieurs blogs que j’ai monétisés, et un site e-commerce.

Comment devenir rédacteur freelance : ce que j’aurais aimé savoir

Maintenant que t’es armé jusqu’aux dents avec tous ces conseils, tu dois être chaud comme une baraque à frites pour te lancer dans l’aventure du freelancing, non ? Mais avant, j’aimerais te parler d’un obstacle que tu pourrais rencontrer : le syndrome de l’imposteur.

Oui, ce truc qui te fait douter de toi-même, de tes compétences, même si tu sais au fond de toi que tu déchires.

Alors, comment devenir rédacteur freelance sans se saxboter soi-même ? Ma solution, c’est la formation continue. N’arrête jamais d’apprendre. Reste à jour, sois curieux et investis en toi-même. C’est le meilleur moyen de casser ce satané syndrome de l’imposteur.

Tu veux un coup de pouce pour débuter ? J’ai ce qu’il te faut.

Je propose une formation ultra complète pour devenir un as de la rédaction web. Si tu es sérieux dans ta démarche et que tu veux vraiment exceller, clique sur ce lien pour découvrir tout ce que ma formation rédacteur web peut t’offrir.