Tu sais que 93 % du trafic d’un site internet provient d’une recherche tapée dans un moteur de recherche ? Ouais, tu as bien entendu. Donc, si tu ignores le SEO pour les nuls, tu rates un sacré paquet d’opportunités pour ton site ou blog.

On a tous déjà écrit un article pendant des heures, pour le publier et ensuite… Que dalle. Pas un like, pas un partage, et surtout, aucune visite depuis Google ? C’est frustrant, je sais. C’est comme pisser dans un violon.

Je suis Alexandre Montenon et depuis 2011, je suis content manager et intervenant en formation rédaction web à l’ISCOM et Sup de Pub.  

J’ai travaillé dans la grande distribution, le marketing et même les arts appliqués avant de trouver ma voie. Et crois-moi, j’ai commis toutes les erreurs possibles en SEO avant de vraiment piger le truc.

Dans les prochaines minutes, tu vas apprendre les bases fondamentales du SEO. Ton but ? Améliorer la visibilité de tes articles en ligne et attirer plus de trafic qualifié sur ton site web.

C’est d’ailleurs sûrement grâce à ça que tu es tombé sur mon article. Allez, on y va !

Qu’est-ce que le SEO ?

Dans mon introduction, je te parlais de la frustration que tu ressens quand ton article n’attire personne. Eh bien, tout ça peut changer grâce au SEO, ou Search Engine Optimization.

Ouais, le référencement pour les nuls, c’est un peu comme apprendre à draguer Google pour qu’il te remarque enfin. Ça te permet de te hisser dans les résultats de recherche, pour que les internautes cliquent sur ton site plutôt que sur celui du voisin.

Au fait, 75 % des clics se font sur les trois premiers résultats de recherche Google en France.

C’est dingue, non ?

Ça te donne une idée du potentiel que tu laisses sur la table si tu négliges ton SEO. Tu trouveras ci-dessous un schéma que j’ai fait, pour te montrer tous les points qu’il ne faut pas négliger pour optimiser le référencement d’un site internet.

Pourquoi le référencement naturel est important ?

J’ai moi-même découvert toute l’importance du SEO quand j’ai commencé à rédiger pour le site e-commerce d’un pote.

À l’époque, mon pote se plaignait que les produits ne se vendaient pas assez, parce qu’il n’arrivait pas à créer du contenu par lui-même. Quand j’ai jeté un œil, j’ai compris qu’il était au fond du trou sur Google.

À force de bidouiller et de tester, on est passés de la 6e à la 1ère page de Google en trois mois. Le chiffre d’affaires a grimpé de 40 % ! C’est là que j’ai eu la confirmation : le SEO, c’est pas du chiqué.

Et je l’ai vite compris par moi-même : le référencement naturel est un investissement à long terme. On oublie les solutions miracles qui te promettent la première page en une semaine. Le SEO, c’est un peu comme construire une maison : il faut d’abord poser de bonnes fondations.

Pour faire simple, une bonne optimisation SEO pour les nuls, c’est un mix bien équilibré entre mots-clés bien choisis, contenu de qualité, et site web bien structuré.

Et on va commencer avec les mots-clés, d’ailleurs. Tu vas voir, ça peut être un vrai jeu d’enfant quand on sait comment s’y prendre !

1. Trouver les bons mots-clés

Alors, une fois qu’on a les bases du SEO en main, la prochaine étape, c’est de trouver les bons mots-clés. Et je ne plaisante pas quand je dis que c’est pri-mor-dial.

Dans le monde du SEO, tes mots-clés, c’est un peu comme ta carte d’identité. Ils vont dire à Google et à ton audience ce que tu proposes.

Si tu rates cette étape, c’est comme donner un faux numéro de téléphone après un rencard réussi. Tu vois où je veux en venir ?

Savoir utiliser les outils de recherche de mots-clés

Forcément, tu te demandes comment bien choisir tes mots clés ? Ne t’inquiète pas, il existe des outils pour ça.

Je me souviens, en 2011, de mes premières expériences avec des outils comme Google Keyword Planner. Une vraie mine d’or. Tu peux aussi jeter un œil aux suggestions de recherche Google, ça donne pas mal d’idées.

C’est d’ailleurs ce que je propose souvent de faire à mes élèves de Sup de Pub.

Évaluer la concurrence

Par contre, attention. Tous les mots-clés ne sont pas nés égaux. Certains sont ultra compétitifs. Pour ces mots-clés, même si tu as un super contenu, t’auras du mal à te faire une place au soleil.

Imaginons que t’as lancé ta propre marque de vêtements de sport éco-friendly. T’es chaud bouillant et tu te dis : « Je vais tout déchirer sur Google !« 

Tu tapes donc « vêtements de sport » dans Google et là… Bim, c’est le drame ! Tu as des géants comme Nike, Adidas, ou Decathlon qui squattent toutes les premières places.

C’est un peu comme être un poisson rouge dans un océan rempli de requins. Et en plus, ces gros poissons ont des budgets marketing faramineux et des équipes entières dédiées au SEO.

Donc, même si ton contenu est super, ça va être vraiment chaud de te faire une place parmi eux avec un mot-clé aussi compétitif.

Mon conseil : il vaut mieux que tu cherches des mots-clés de niche, plus spécifiques, comme « vêtements de sport éco-responsables » ou « tenues de gym durables ». Ce sera beaucoup plus facile de te faire remarquer et de grimper dans les classements de recherche.

Les longues traînes

Un petit truc en plus ? Les longues traînes. Ce sont ces expressions de plusieurs mots qui sont super spécifiques. Genre, au lieu de viser « chaussures« , tu vises « chaussures de randonnée roses pour femmes« . Moins de concurrence et un public plus ciblé, c’est tout bénef.

Ma méthode préférée : le KGR, ou Keyword Golden Ratio

T’as sûrement déjà entendu des tas de méthodes pour trouver le bon mot-clé, non ? Mais laisse-moi te parler de la méthode du Keyword Golden Ratio (KGR). J’ai découvert ça il y a quelques temps déjà, et ça a été une véritable révélation.

Je l’enseigne d’ailleurs à tous mes élèves de Master !

Comment ça fonctionne, ce fameux KGR ?

Le principe est simple.

Le Keyword Golden Ratio, c’est le nombre de résultats Google pour une expression clé exacte, divisé par le volume de recherche mensuel pour cette même expression.

Et ce volume doit être inférieur à 250. Si le ratio est en dessous de 0,25, bingo ! Tu tiens un mot-clé en or.

J’ai testé, et devine quoi ? Les résultats étaient bluffants. Dans certains cas, mes articles ont atteint la première page de Google en moins d’un mois.

En France, je rappelle que la majorité des clics sont capturés par les trois premières positions. Alors, être en première position Google, c’est presque toucher le jackpot.

Quand et comment utiliser le KGR ?

Par contre, petite mise en garde : le KGR, ce n’est pas pour tous les projets. C’est vraiment efficace pour des niches spécifiques ou des sites plus jeunes.

Pour un site déjà bien établi, avec beaucoup de trafic, ce ne sera pas la méthode la plus pratique. Mais pour un projet naissant, c’est vraiment le top pour te référencer rapidement.

Un exemple concret avec la méthode KGR

Prenons un exemple pour que tu puisses vraiment saisir la puissance du KGR.

Imaginons que tu gères un blog sur la « permaculture urbaine« . T’as envie d’être visible sur Google, mais tu ne sais pas par où commencer en ce qui concerne ta recherche de mots-clés.

Tu tombes sur un sujet qui te paraît intéressant : « Comment créer un jardin vertical en appartement« .

Après quelques recherches, tu découvres que le volume de recherche mensuel pour l’expression « jardin vertical appartement » est de 200. Pas mal, pour commencer.

Ensuite, tu vas sur Google et tu tapes cette expression entre guillemets, précédée de la requête allintitle pour avoir le nombre exact de résultats. Ce qui donne :

allintitle : « jardin vertical appartement »

Disons que tu obtiens 40 résultats.

Tu calcules ton KGR : 40 (nombre de résultats) / 200 (volume de recherche mensuel) = 0,2. Bingo, ton KGR est en dessous de 0,25 !

Je me suis lancé dans un exercice similaire il y a quelques mois. J’ai suivi tout le processus : recherche du mot-clé (se lancer en freelance sans expérience), calcul du KGR, rédaction de l’article et mise en ligne.

Résultat ? Mon article était en première page de Google en trois semaines. Et les clics ont commencé à pleuvoir.

Le contenu de qualité

T’es prêt ? Parce qu’on aborde maintenant la crème de la crème du SEO pour les nuls : créer un contenu de qualité. Je sais, je sais, tu vas me dire que c’est une évidence. Mais en réalité, peu de gens savent vraiment ce que ça signifie.

Premièrement, avoir un contenu de qualité, c’est répondre de façon précise et détaillée à la question ou au besoin du lecteur.

Par exemple, quand j’ai commencé à écrire des fiches produits pour des fers à lisser, je ne me suis pas contenté de lister les caractéristiques. J’ai expliqué comment ces caractéristiques bénéficient à l’utilisateur, avec des astuces pour optimiser leur utilisation.

C’est ce qu’on appelle apporter une valeur ajoutée et améliorer l’expérience utilisateur.

Le deuxième élément, c’est l’originalité.

91% des contenus en ligne n’obtiennent aucun trafic depuis Google. Pourquoi ? Parce qu’ils ne sont que des répétitions de ce qui existe déjà.

Quand j’ai créé mon entreprise, j’ai veillé à sortir du lot en abordant des thèmes peu exploités mais très utiles.

Comment faire une introduction qui déchire ?

Séduire ton lecteur dès les premières lignes, c’est la première règle du copywriting. Tout comme dans un bon livre ou un bon film, tu veux que la personne reste jusqu’à la fin, non ?

Dans mes formations à l’ISCOM et Sup de Pub, j’insiste beaucoup sur ce point.

Une astuce simple, mais efficace, c’est de poser une question à laquelle le lecteur veut absolument la réponse. Ensuite, tu déroules le fil de ton argumentation pour y répondre de manière exhaustive.

Si tu veux, j’ai rédigé un super article sur le sujet : Comment faire une introduction qui fait mouche dès les premières lignes, sans y passer des heures ?

Mesure, adapte et optimise

Enfin, le dernier aspect et non le moindre, c’est l’optimisation continue. À l’époque où j’ai commencé à me former en SEO auprès des plus grands, comme Laurent Bourrelly, le mot d’ordre était déjà : teste, mesure, ajuste.

Des outils comme Google Analytics ou SEMrush sont tes meilleurs alliés pour ça.

Comment optimiser ton contenu pour le SEO ?

Bien, maintenant que tu sais ce que c’est qu’un contenu de qualité, parlons d’un truc super important : comment optimiser ce contenu pour le référencement naturel pour les nuls. C’est bien beau de rédiger des articles de folie, mais si personne ne les voit, à quoi ça sert ?

Je t’entends d’ici : « Alexandre, c’est cool tout ça, mais comment je fais concrètement ? » Patience, je vais t’expliquer tout ça.

1. Des mots-clés pertinents dans tes titres et sous-titres

Les moteurs de recherche, ils sont comme nous, ils aiment les choses claires et bien rangées. Alors n’hésite pas à utiliser des balises H1, H2, H3 pour structurer ton contenu. Ensuite, glisse tes mots-clés dedans.

Mais attention, pas n’importe comment ! Ils doivent s’intégrer naturellement dans le texte. Google adore ça.

2. Le maillage interne.

 Tu sais, quand tu mets des liens vers d’autres articles ou pages de ton site ? Ça, c’est de l’or en barre pour le référencement naturel. Par exemple, dans un de mes articles sur la gestion de projet, j’ai mis des liens vers mes articles sur les outils de gestion de projet et les méthodes agiles. Ce n’est pas juste pour le plaisir, c’est stratégique.

3. Les métadonnées

Ah, ça sonne technique, hein ? Mais en fait, c’est simple. Ce sont les informations qui apparaissent dans les résultats de recherche : le titre de la page (que l’on appelle balise TITLE), la description de la page (que l’on appelle méta description)…

J’ai une règle simple : si tu veux que quelqu’un clique, rends ta balise TITLE sexy ! Mais sois aussi précis et informatif que possible. Une description vague ou trompeuse, ça va se retourner contre toi.

Voilà, tu as maintenant une bonne base pour optimiser ton contenu pour le référencement naturel. Simple, non ? Bon, tu es prêt pour la suite ? On va parler du SEO off-page, un autre élément clé du SEO pour les nuls.

Introduction au SEO off-page

Alors, t’as optimisé ton site, ton contenu rédactionnel est au top, et maintenant ? Eh bien, il est temps de parler du SEO off-page, c’est-à-dire tout ce qui concerne le référencement en dehors de ton propre site. Et crois-moi, pour quelqu’un qui s’intéresse au SEO pour les nuls, c’est du pain béni.

Les backlinks

Premièrement, parlons backlinks.

Ce sont des liens qui pointent vers ton site à partir d’autres sites web. Et en 12 ans, j’ai constaté que le nombre et surtout la qualité des backlinks peuvent faire toute la différence. Alors, comment tu les obtiens ?

Tu peux créer des partenariats, offrir du contenu invité sur des blogs influents de ton secteur, et surtout, t’assurer que le contenu que tu proposes est tellement bon que les gens voudront naturellement le partager.

À lire également, sur le blog d’André Dubois : Comment obtenir des backlinks de qualité : 11 sources efficaces

Pour y voir plus clair

Le netlinking, c’est un peu comme aller à une grande fête où tout le monde se connaît.

Cette grande fête, c’est Internet, et chaque invité est un site web.

Toi, tu es le petit nouveau du coin (avec ton site sur les courses de chevaux par exemple), et tu veux te faire connaître.

Tu ne vas pas te contenter de te tenir dans un coin en espérant que les gens viennent te parler, n’est-ce pas ?

Donc, tu commences à discuter avec des personnes qui sont déjà populaires et respectées dans la fête. Dans le monde du netlinking, ça serait un blog ou un site d’autorité dans ton domaine (le sport ou les animaux).

Et t’arranges pour offrir quelque chose d’utile ou d’intéressant à ce blog, comme un article invité à forte valeur ajoutée ou une étude de cas unique au monde. En retour, ce blog va faire un lien vers ton site pour dire à tout le monde « c’est ce gars là qui a écrit cet article, allez vite voir ce qu’il fait sur son blog qui parle des courses de chevaux ».

C’est ce que l’on appelle obtenir un lien d’un site d’autorité qui envoie le signal suivant à Google et à ses utilisateurs : « Ce site est fiable et intéressant« . Ce qui améliore ta « popularité » aux yeux de Google, et t’aide à monter dans les résultats de moteurs de recherche.

C’est un travail de longue haleine, mais une fois que tu commences à obtenir des backlinks de la part de sites à forte notoriété, tu verras une différence notable dans ton référencement SEO. C’est comme être l’invité star de la fête : une fois que tu y es, tout le monde veut être ton ami.

Les réseaux sociaux

Deuxièmement, l’importance des réseaux sociaux. Non, Twitter, Facebook, Instagram ou LinkedIn ne sont pas que pour partager des memes ou des photos de ton chien. Ce sont de véritables leviers pour diriger du trafic vers ton site.

Je me souviens d’une campagne que j’ai lancée sur Facebook pour un de mes clients. En une semaine, les visites sur son site ont grimpé de 20 % !

Les avis et les commentaires

Troisièmement, les avis et les commentaires. Je sais que ça peut être agaçant de demander des avis, mais les gens font confiance aux avis.

Un bon avis peut booster ton référencement local, surtout si tu as une entreprise physique.

À la fin de chaque formation que je donne ou chaque prestation que je termine, j’envoie systématiquement un mail à mon client pour lui demander de laisser un avis sur ma fiche Google My Business. Et je lui mets carrément le lien de la fiche, pour lui simplifier le travail au maximum.

En résumé, le SEO off-page, c’est du travail bien fait et bien planifié. Et maintenant que tu es armé de toutes ces infos sur le référencement pour les nuls, tu es prêt à dominer les moteurs de recherche !

Les aspects techniques du SEO

Ah, voilà une partie qui va faire plaisir aux geeks qui aiment coder !

J’ai une révélation pour toi : une bonne stratégie de référencement naturel pour les nuls, c’est pas seulement du blabla et des jolis mots. Non, non.

Tu dois aussi t’attarder sur les aspects techniques. Tu sais, le menu de ton site web, la structure de tes URL, l’optimisation des images, etc.

1. La vitesse de chargement, un facteur clé pour Google et tes visiteurs

J’ai vu des sites prendre une éternité à charger, et je t’assure, rien n’est plus frustrant. Tu sais que 53% des utilisateurs abandonnent un site qui prend plus de 3 secondes à charger ?

Alors, utilise des outils comme Google PageSpeed Insights ou GTmetrix pour analyser la vitesse de ton site et applique leurs recommandations.

2. Le maillage interne, ou comment guider tes visiteurs (et Google)

Le maillage interne, c’est un peu comme jouer au guide touristique pour tes visiteurs. En insérant des liens pertinents vers d’autres pages de ton site, tu facilites la navigation et tu encourages les gens à rester plus longtemps.

Un conseil ? Place les liens naturellement dans le contenu, comme si tu montrais à un pote où trouver les meilleures pizzas en ville.

3. Le fichier Sitemap et le fichier Robots.txt

Alors là, c’est du sérieux.

Le fichier Sitemap, c’est la carte d’identité de ton site pour les moteurs de recherche. Le fichier Robots.txt, lui, c’est le videur à l’entrée de la boîte de nuit qui indique à Google ce qu’il peut ou ne peut pas voir.

Si tu ne sais pas comment les configurer, trouve-toi un bon développeur. Ça en vaut vraiment la peine.

4. Les balises meta et HTML

Tu sais quoi, j’adore la première impression. Et les balises meta, c’est un peu ça pour ton site. Elles dictent comment ton site apparaît dans les résultats de recherche. Alors, prends un peu de temps pour les peaufiner.

Utilise des titres accrocheurs et des descriptions précises.

En résumé, le SEO n’est pas un sprint : c’est un marathon

Eh bien, voilà, on arrive au bout de cette petite aventure. J’espère que ce guide t’a donné une vision plus claire du SEO pour les nuls.

Tu l’auras compris, le référencement naturel est un univers trèèèèès vaste et en constante évolution. La vérité, c’est qu’il n’y a pas de formule magique. Et même si tu suis tous les conseils que je t’ai donnés, tu pourrais quand même te heurter à un obstacle majeur : la patience.

Le SEO, ça prend du temps en effet. Tu auras beau suivre toutes les règles à la lettre, tu ne verras pas de résultats immédiats. Du moins, pas avant 4 ou 6 mois.

On ne baisse donc pas les bras. Continue d’optimiser, d’ajuster, de mesurer. Et surtout, continue d’apprendre. Le monde du SEO est en perpétuel mouvement et il faut rester à jour.

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